Nicolas Sarkozy et les 3 Suisses ont quelque chose en commun : Afficher un mannequin ? Oui sans doute, mais les deux ont également été la cible de Google Bombing ces derniers jours. Décryptage d’une pratique de plus en plus courante…
Source et suite de l’article : http://oseox.fr/blog/index.php/733-google-bombing
Google vient d’annoncer encore un nouvel outil : les alertes personnalisées Adwords… Le moteur sait définitivement comment convaincre les utilisateurs d’adopter sa nouvelle interface…
La plupart des entreprises utilisent l’e-commerce AdWords pour générer du trafic. Il est très simple – vous soumettez des termes de recherche dans Google, votre annonce apparaît si quelqu’un cherche ce terme, et vous ne payez que si quelqu’un clique sur cette annonce. C’est un excellent système, mais il comporte quelques pièges…
Pour ceux d’entre vous ayant migré vers la nouvelle interface Google, un nouvel outil vient de faire son apparition : le simulateur d’enchères. En cliquant sur la petite icône à coté de chaque mot-clé, vous accéder à celui-ci et pouvez estimer le nombre de visites que vous auriez eu avec une autre enchère. Le simulateur d’enchères vous permettra de voir si il est rentable ou non d’augmenter l’enchère d’un mot-clé en question…
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Yahoo-Microsoft : le duo devra faire ses preuves pour secouer Google
Selon Ovum, Microsoft est gagnant face à Yahoo. Et Google peut se montrer “un peu inquiet”.
* Actualité. Publié sur itespresso.fr par La Rédaction
* le 30 juillet 2009 à 16:42
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Si les modalités de l’accord Yahoo-Microsoft sont alambiquées, l’objectif est clair : bousculer Google.
Les deux nouveaux partenaires veulent redistribuer les cartes pour limiter l’influence “d’une compagnie qui détient 70% de part de marché dans la recherche en ligne”…
ARTICLE : lejdd.fr
Nicolas Sarkozy est victime sur Internet d’un “bombardement Google”, une technique de référencement qui vise à influencer le classement d’une page Internet dans les résultats du moteur de recherche Google. Ainsi, la première occurrence de la recherche “trou du cul du web” renvoie en effet sur le site officiel de campagne de Nicolas Sarkozy, www.sarkozy.fr
Suite Article : lejdd.fr
SOURCE & ARTICLE : Iniseo.com
Il était communément admis que Google avait les annuaires dans le collimateur, cela n’était peut-être pas tout à fait vrai puisqu’il semblerait qu’un test qui leur est spécialement dédié vise à les mettre à l’honneur dans les SERPS.
C’est ce que semble démontrer en tout cas les deux captures suivantes qui nous ont été aimablement communiquées par le référenceur star Antoine Leroux [fr] qui révèle l’affichage du fil d’ariane des annuaires en guise de sitelinks…
Suite de l’article : Iniseo.com
SOURCE : Fabien Fournier (lefigaro.fr)/ Le Figaro
lefigaro.fr : Combien coûte une publicité sur Internet ?
Philippe Jacob : La publicité sur Internet résiste mieux à la crise que l’ensemble du marché publicitaire. La fourchette de prix est extrêmement large, de 5 000 euros à un million d’euros selon le site et la campagne. Une annonce en ligne est donc moins chère qu’un spot télé ou radio. L’Internet permet à de plus en plus de petites et moyennes entreprises d’accéder à la publicité. Notamment parce qu’il est possible de restreindre le champ de diffusion de la campagne. Pour 5 à 10 000 euros, il est possible d’obtenir une campagne de une à trois semaines en rotation sur un portail ou sur un site ciblé localement, par exemple les pages jaunes, Orange ou Msn.
Jérôme de Labriffe : Ce n’est pas la création qui coûte le plus cher. Le prix de l’annonce est directement indexé sur le succès de l’annonce. Il existe plusieurs formes de tarification. La plus courante, c’est le coût pour mille pages vues (CPM), qui est compris entre 8 et 60 euros. Il existe aussi le coût par clic, nécessairement plus élevé. Plus rare, le coût par acquisition, encore plus onéreux, qui quantifie directement l’acte d’achat imputable à la publicité. Le grand intérêt du Net, c’est de mesurer très précisément l’efficacité de la campagne en connaissant le nombre de pages vues ou le nombre de clics. Et d’ajuster en fonction. Une création peut en effet être changée en quelques heures si elle ne répond pas aux objectifs fixés, ce qui laisse la possibilité d’en tester plusieurs.
Mathieu Morgensztern : Derrière ces diverses formes de fixation d’un prix, il y a la volonté de l’annonceur soit de surtout gagner en notoriété (le coût pour mille est alors pertinent, il est surtout utilisé pour les grands formats), soit de privilégier ses ventes. Les PME qui n’ont pas nécessairement un objectif de notoriété de masse ont plutôt intérêt à payer au clic. De plus, c’est une formule qui leur garantit de mieux maîtriser leur budget de communication.
Comment l’entreprise choisit-elle le bon site ?
Philippe Jacob : Il faut le choisir en fonction du profil de ses visiteurs qui doit coller avec la cible retenue. Si le produit s’adresse aux jeunes, il peut être judicieux d’acheter de la pub sur un site de téléchargement de musique ou de vidéo, sur des blogs, sur des sites de tchat… Pour un article destiné à un lectorat féminin, il existe des portails plus spécifiques comme aufemin.com, des sites de forme ou de santé.
Jérôme de Labriffe : Un fabricant de fromages de chèvre aura intérêt à viser les pages sur l’écologie ou la montagne. Un artisan pourra approcher un forum sur le bricolage.
L’internet permet aux PME de mieux cibler leur publicité. Par quels procédés ?
Philippe Jacob : Prenons l’exemple d’un fabricant de planches à voiles de l’Ouest de la France. Il va pouvoir s’offrir un bandeau publicitaire sur Msn ou certaines boites mail, visible uniquement par les jeunes de 16 à 25 ans de sa région. Car, sur Msn comme sur de nombreuses autres plateformes, l’hôte remplit un formulaire d’identification. Sur ces sites, un internaute ne verra donc pas la même publicité que son voisin si leurs profils sont différents.
Mathieu Morgensztern : C’est aussi le cas des réseaux socioprofessionnels tels que Facebook ou Linkedin.com. Il y est même possible de tester un message sur un internaute et d’en changer s’il ne semble pas donner satisfaction. On fait, en somme, du sur-mesure.
Philippe Jacob : Il existe un autre moyen bien connu. Les grands portails, comme Yahoo ou Orange, traitent de sujets très variés. Eux savent, grâce aux cookies et historiques de navigation, sur quelles rubriques se sont orientés leurs visiteurs, à la condition que ces derniers aient accepté ces paramètres. Il est donc possible de cerner leurs centres d’intérêt et leur proposer une publicité adaptée (sur un placement financier pour un lecteur d’articles sur la bourse, sur des articles de foot ou de rugby pour un assidu d’infos sportives…).
Un dernier avantage à la publicité en ligne ?
Philippe Jacob : Son principal atout, c’est de mettre directement en contact le consommateur avec l’annonceur, grâce à un simple clic. Ce que ne permet évidemment ni la télé, ni une affiche. Par la vente en ligne, c’est même le seul média qui permet à la publicité de conduire directement à l’acte d’achat…
Jérôme de Labriffe : Oui et cela montre l’importance pour l’entreprise de disposer d’un site Internet et veiller à son référencement. En moyenne, une PME sur trois en a un.
Jérôme de Labriffe est président d’IAB France (Interactive Advertising Bureau) qui rassemble les métiers liés à la publicité en ligne.
Mathieu Morgensztern est directeur général de Betc 4D Digital House (filiale d’EURO-RSCG).
Philippe Jacob est directeur général de Skyrégie et vice-président du Syndicat des régies d’Internet.
SOURCE : Fabien Fournier (lefigaro.fr)/ Le Figaro
SOURCE : ABONDANCE
Pendant une demi-heure, Google News a renvoyé des messages d’erreur à ses utilisateurs, croyant à une attaque automatique devant l’afflux de requêtes demandant des informations sur Michael Jackson…
La mort de Michael Jackson a provoqué un ralentissement général du Web et de quelques sites majeurs comme Twitter. Google News a aussi connu des soubresauts, à tel point que le moteur de recherche a cru pendant un court instant à une attaque en règle de pirates saisissant le même mot clé pour le mettre l’outil de recherche à genoux. Gabriel Stricker, porte-parole de Google, a indiqué à la BBC qu’”il est exact qu’entre 14h40 et 15h15 (heure du pacifique), quelques utilisateurs ont rencontré des difficultés à accéder à Google Actualités et ont vu une page d’erreur”…
Le pic de requête sur Google Hot Trends est en effet assez révélateur :
 Source de l’image : Google |
SOURCE : Actu Ref
A la question “combien de temps faut-il pour que le référencement réalise des résultats?”, la réponse n’est pas universelle! En effet, cela varie en fonction de l’âge du site en question et de l’intensité de la concurrence pour un certain volume de mots-clés. Outre ces deux éléments, il faut prendre en compte les URLs rewriting ou redesigning d’un site web.
Le benchmarking est important pour comprendre le comportement le classement après le lancement d’un site Web redesigné. Le suivi des mots-clés, tels que les 10 à 50, en plus des mots clés de marque et les termes référant à la marque, et leur mesure par les moteurs de recherche, peuvent vous donner un aperçu de cela.
Le meilleur allié dans la réussite du suivi d’après lancement est, bien sûr, Analytics. Tant que cela a été correctement configuré, des données très importantes peuvent être tirées à partir de 404 rapports et des taux de rebond des pages référents. Google Webmaster Tools et Yahoo Site Explorer sont des alliés importants dans la quête d’un nouveau classement ou continu.
Pour un nouveau site, le premier objectif doit être le classement pour la marque et potentiellement pour des recherches locales. Laissez du temps pour le traitement et une attention continue, et le classement devrait être visiblement en hausse après six mois.
En outre, la compétitivité, l’âge de domaine, le niveau de la marque sont les trois choses à chercher au départ – après quoi cela devient un effort sans fin.
SOURCE : Actu Ref
